Washington/Téhéran — Une attaque militaire directe des États-Unis contre l’Iran a été confirmée dans la nuit du 21 au 22 juin. Selon les déclarations du président Donald Trump, trois sites nucléaires iraniens — Fordow, Natanz et Ispahan — ont été visés et touchés par des bombardiers furtifs américains B-2 Spirit, équipés de munitions de type « bunker-buster ».
C’est la première fois que les forces américaines frappent directement le territoire iranien de cette manière, marquant ainsi une escalade sans précédent dans les tensions déjà croissantes au Moyen-Orient.
Objectif : stopper le programme nucléaire
D’après Trump, l’opération vise à "réduire la menace nucléaire immédiate" et à soutenir l’effort militaire initié par Israël quelques jours plus tôt. Il a assuré que tous les appareils américains sont rentrés sans dommage et que "la mission a été un succès total".
Malgré cela, il a appelé à "donner une chance à la paix", une déclaration jugée paradoxale par plusieurs analystes politiques
Réactions internationales contrastées
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Iran promet une riposte décisive, et les autorités parlent d’un "acte de guerre".
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France et Turquie appellent à la désescalade immédiate.
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Chine et Russie condamnent l'attaque, évoquant une violation du droit international.
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Plusieurs membres du Congrès américain (Ro Khanna, Thomas Massie) dénoncent une opération menée sans autorisation parlementaire.
📻 Analyse de Radio News 24
Cette attaque pourrait provoquer une série de représailles en chaîne dans la région. Des bases américaines au Moyen-Orient sont déjà placées en alerte maximale. La communauté internationale retient son souffle, craignant un nouveau conflit à grande échelle, à un moment où l'équilibre géopolitique mondial est déjà fragile.
À suivre...
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